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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 15:25

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Vous en rêviez, le capitalisme l'a fait en lançant la rumeur d'un nouveau mythe Halal: le Quick Halal (eux c’est le dégoût !).  Du moment que les euros font écho, tout va... ainsi les industriels se sont lancés dans une course à l’estampillage et à la certification Halal. Il n’est jamais trop tard pour comprendre que la France c’est 5 potentiels millions de consommateurs Halal… Dire qu’y a des mecs qui font de longues études pour décrypter et cibler le marché, ses tendances, ses tenants et ses aboutissants !  Comment l’économie française a pu aussi longtemps être aveugle et passer à côté de cette manne financière ?  Un jour viendra ou l’eau en bouteille sera Halal et si c’est déjà fait, excusez ma longueur de retard. Je ne veux pas être musulmane seulement quand on me considère comme une part de marché potentielle ou le temps d’un menu-frites-coca!  Cette polémique autour de la halalité de Quick arrange aussi bien les ethnocentriques* que les barbus-tenanciers de kebabs et autres chicken-chicka-store. KFC ou Quick-pseudo-Halal , même combat : pour les uns c’est vendre mal mais encore plus, pour d’autres c’est dégueuler d’avantage leur peur obsessionnelle de la différence et pour les derniers c’est devoir partager le marché juteux du Halal. Petit grec du coin, rassure toi, tu aura toujours des clients, car c’est devenu si fastidieux de cuisiner… Alors même si plus on est de fous moins y a de riz, pas besoin de fustiger l’enseigne rouge au Q majuscule… et vu que Buisines-goes-on, ni  toi ni les multinationales, ne font preuve de scrupule.

Manger fast-food, c’est surtout alimenter un système, en sacrifiant  sa digestion (voir sa santé) sur l’autel de l’économie de marché… Pour avoir travaillé pour Ronald Mc Donald, je peux vous dire qu’il n’y a rien de bon à manger avec ses doigts dans un plateau, une nourriture approximative. Je n’ai jamais vu autant de gaspillage et de formatage et je passe sur la question du capital humain car le salarié vaut encore moins qu’un Big Mac. C’est une question de bon sens, car au-delà de la polémique halal-pas-halal, la junk-food reste une nourriture malsaine qui nuit grandement à la santé.  C’est tout simplement faire du mal à son corps et ça c’est définitivement HARAM ! Polémiquer sur un débat aussi insignifiant, ce n’est que reconnaître sa position soit de pseudo sauveur de la laïcité, soit consommer et accepter d’être une cible marketing de plus. Manger des fish à la longue, certes ça use mais faire un tollé pour 8 malheureux Quick-pseudo-Halal ça a encore moins de sens…   Ca revient au même chipotage avec le débat autour des 367 malheureuses en-niqab-ées… et comme le dit Lemekiltefaut, « ça pu en France » mais là n’est pas le sujet.

L’argument de l’abattage rituel comme torture envers les animaux me fait bien rire. Si on aime tant les animaux on ne les mange pas et puis c’est tout. Ayant taffé dans un abattoir je sais ce que font certains aux gentils Zanimaux… et crois moi c’est pas toujours joli-joli ce qu’il y a dans ton assiette... Que ce soit, gentiment étourdie par électrocution sur de la musique classique  ou égorgé rituellement par un barbare musulman, on en revient au même résultat : l’animal meurt et sera consommé en toute dignité dans un menu maxi best of plus ou pas…  Inutile d’aller lapider le rayon Halal d’Auchan, petit défenseur de la laïcité. Ne t’inquiète pas, Al Qaïda n’a toujours pas de branche gastronomique et la France n’est pas en danger parce que 8 Quick ne font plus dans le bacon. Quand à vous, chers frères et sœurs, en quoi est-ce une victoire de manger la même sous-nourriture toxique que le reste du monde ? En quoi est-ce une avancée pour vous et plus globalement pour la Oumma ? Vous sentez-vous moins discriminé ou exclu avec un hot-wing saturé en gras en bouche ?

*Ethnocentrisme : « tendance, plus ou moins consciente, à privilégier les valeurs et les formes culturelles du groupe ethnique auquel on appartient » (merci Wiki)

 

La fameuse vidéo... qui je l'espère fera sourire Abdel-H.
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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 13:20

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Il fut un temps, jadis, naguère, où je n’étais pas collée un mercredi sur deux et où l'UNSS prenait peu de place. Une époque fort-fort lointaine où la bibliothèque n’était pas synonyme de calvaire ou de tortures universitaires. Ayant, très tôt réalisé que mes prédispositions pour devenir Astronaute ou Présidente de la France étaient plus qu’insuffisantes, je cherchais déjà un plan B. Balayant du regard les livres, entre les rayons « sciences & techniques » et « société & civilisation » de la bibliothèque, j’ai accidentellement trouvé ma nouvelle vocation. Mes yeux se sont posés sur la tranche de : « Brésil, épopée métisse » de Mario Carelli. La bibliothèque municipale n’en savait rien mais elle venait de m’offrir un passeport pour l’aventure. Il n’était plus question pour moi de quitter la terre pour la lune car cette première trouvaille marquante fut le déclic de ma chasse au trésor. De lecture en lecture, ma passion brésilienne n’a fait que grandir et c’est très sûre de moi, qu’un mercredi après-midi, j’ai décrété que je deviendrai Exploratrice ! N’ayant ni l’âge de raison, ni celui de barouder en solo, j’ai sagement vécu mon exploration par procuration… Bah quoi ? Avec mes BN enveloppés dans de l’alu et ma pièce de 5 francs, je n’allai pas faire long feu dans la jungle ! Ne sachant pas encore que des études pour devenir exploratrice existaient, je me projetais et me suis longtemps persuadée qu’après le bac (si lointain à mes 10 ans) je partirai à la découverte du Monde ! Le bac en poche, ma mère m’ayant menacé de me rayer du livret de famille, je n’ai pas fait le tour du Monde. Je me suis finalement contentée de m’inscrire à la fac en socio-anthropo…


Le jour où mes babouches fouleront le sol brésilien, j’aurai la prétention de vous saouler avec cette riche Histoire et cette Culture métissée (Colocar alguma coisa na geladeira !), idéalisées par mon imaginaire dans lequel cette contrée lointaine est  l’opposée d’un « désenchantement du Monde ». Alors non je ne parlerai pas de la tempête qui en 1500, a déporté Pedro Alvares Cabral vers les côtes brésiliennes, des indiens, de l’expansion-colonisation-évangélisation-esclavagisme portugais, ni du futebol, de la capoeira, du vaudou, de Paulo Coelho, du bobo de camarao (une soupe de crevette), des favelas, des condominhos, du carnaval, de ses strasses et de ses paillettes… Je me contente de vous proposer ce qui m’a été le plus accessible et ce qui en partie alimente mon amour par procuration pour le Brésil : sa culture musicale à travers ma Seleçao en 15 titres. Ce chiffre m’arrange bien, non pas parce que la Brésil c’est 15 fois la superficie de la France mais car il m’oblige à être sélective dans mon éclectisme boulimique!

 

Vu que MEGAUPLOAD se fout de ma gueule:

http://www.megaupload.com/?d=GF6K3BYT
OU

  http://rapidshare.com/files/369574224/A_sele____o_do_La-Babouch-K.rar.html

 

 A seleçao do La-Babouch-K

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Parce que « K-K-K-K-Carolina », Sidi A., ce billet est pour toi ! Oi, tudo bem ? Si moi je parle portugais ? Je t’en pose questions ?!

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 01:52
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C’est rigolo de voir ce qui amène les gens jusqu’ici. Beaucoup de requêtes tournant autour du porno et du sexe ("beurette" et compagnie) mais certaines totalement insolites : « gâteau » et « chocolat ». Y a rien à comprendre au référencement google ! Je sais qu’après la recette de la Chorba-express, que tu t’attends à une arnaque. Je n’ai pas trouvé cette arnaque recette à Auchan au détour du rayon soupe, ni au fin fond de mon imagination. Elle me vient d’une bonne amie aux talents culinaires inexistants. Un mercredi après-midi, en 15 minutes chrono, j’avais la bouche pleine de bonheur au point que je n’ai plus jamais dénigré sa passion pour les pâtes H24 – 7j/7. Alors si tu n’as pas de four, que tu n’as pas le temps voir aucune aptitude en cuisine : cette recette est pour toi !

Qu’est qu’il faut ? 200g de chocolat - 100g de beurre - 100g de farine - 100g de sucre - 4 œufs – 1 pincée de sel - 1 sachet de levure chimique. 

Comment qu’on fait ? Défoule-toi en pétant les petits carreaux de chocolat. Additionne-y le beurre et 3 cuillères à soupe d’eau. Direction le micro-ondes pour ton saladier et que ça fonde ! Puis sans te formaliser, ni hiérarchie aucune, tu ajoutes le reste des ingrédients… Tu mélanges, tu mélanges, tu mélanges… Oh arrêtes de mélanger. Waw la pâte est déjà prête. Selon le taux d’équipement de ta cuisine, tu beurres un récipient: plat/moule/tupperware… peu importe il doit juste être suffisamment grand… car OUI, la levure a la propriété magique de faire lever la pate et parfois de la faire déborder… (je dis ça pour S). Et OUI, il est vivement déconseillé d’utilisé un moule métallique (je dis ça pour M). Tout ça, 7 minutes au micro-ondes, à puissance max… Classiquement, on vérifie avec la pointe d’un couteau : si c’est sec, c’est prêt. Tadaaaa, magie-magie, tu peux à ton tour remplir ta bouche et arrêter de dénigrer.

Merci qui ? Merci J.Y.A et La-Babouch-K… Tu vois que je te veux du bien (mais pas forcement à ton maillot de bain).

PS : Non ça ne va pas devenir un blog cuisine. Oui la photo ne donne pas envie. Non je ne sais pas expliquer les recettes… et franchement je le vie bien ! 
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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 21:51
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Ca démarre en équipe, on a des amis à ne plus savoir les compter. A chaque fois que la vie vient te chatouiller de l’une de ses épreuves, tu peux commencer à faire le décompte. Et finalement, tu te dis  qu’il y a bien trop de doigts sur ta propre main gauche pour pouvoir les recenser. Et pourtant tout avait si bien commencé ! « Amis pour la vie… à la mort ! T’es comme mon frère, ma sœur, je t’oublierai jamais. Je serai toujours là pour toi... ». On fait les 400 coups ensemble et du jour au lendemain, sans prévenir, on coupe les ponts ! Plus de nouvelle, bonne nouvelle et tu deviens veuf de ton ami qui n’a « pas trop le temps en ce moment », voir plus le temps du tout. Il y a les amnésiques qui finissent par t’oublier. Les sourds qui n’entendent plus le téléphone sonner. Les paralysés qui ne te rendent plus visites. Mais la pire des maladies qui puisse frapper un ami est la cécité car il ne te reconnaitra même plus dans la rue. Plus rien jusqu’au jour où il a besoin de toi et refait surface.

 

« Il faut savoir accepter un chien avec ses puces », donc ses défauts, peines, joies, erreurs, regrets ou victoires et surtout qu’il change. On ne devrait rien attendre d’un ami, pas même de la réciprocité. On ne devrait pas les juger ou comptabiliser le temps donné. Pas parce que c’est ça, la vraie-amitié mais car il faut apprendre à protéger son « boomkoeur » des assauts d’opportunistes qui savent s’investir juste ce qu’il faut et entretenir superficiellement les liens d’amitié… pour que toi, tu continues à y croire. Comme j’aime le dire: « pour sa rareté, son intemporalité et sa pureté qui font sa valeur, l’amitié est comme un diamant ». Et pour en trouver un, il faut charbonner longtemps! Je vous épargne mon délire au sujet de l’art du charbon sublimé par la nature, cette réfraction hypnotique de la lumière à l’infini… Au passage, j’accuse Charles Ingals d’avoir fait croire qu’il faut aimer celui qui te jette la 1ère pierre. Comment faire confiance à un type qui en 205 épisodes n’a pas changé une seule fois de chemise ? C’est l’arnaque du siècle, la Prairie… ou pas car j’épouserai bien un Charles Ingals. Un homme droit, intègre, plein d’honneur, de valeurs, de respect et qui joue du violon! Réflexion faite, je connais déjà trop de joueurs de pipo! (Et je préfère le joueur de poker du local des RiveDuCher même s’il pense que je dois aller me faire foutre…)


Tu as cru en vos projets qui n’étaient que des plans sur la comète. Malgré qu’ensemble vous ayez tout partagé, vos enfants ne se connaitront pas, vous n’irez pas ensemble jusqu’au bout de votre vie et de vos rêves. Affinités, points commun, complicité ne riment en rien avec amitié parce que ça tourne avec le vent. Alors peu importe le côté « éphémère » (10 ans dans une vie ce n’est rien) de certaines amitiés, parfois quasi fraternelles, nos vies changent et il arrive qu’on se détache. Les destins ne font que se croiser et souvent finiront par se séparer. On ne subit pas une amitié, on la choisit sinon ça s’appelle une erreur de jugement ! Sur le coup on pense ne plus jamais donner sa confiance ou s’attacher de peur des séquelles et des bleus de l’âme… mais on apprend de ses erreurs ! Il y a malgré les aléas de la vie, des amitiés à toute épreuve qui ne s’effritent jamais, un fil invisible vous relit à cet ami et même après de longues absences. C’est pourquoi, je garde les bons souvenirs et me fiche des fins comico-tragiques car je sais que la haine reste une entreprise qui demande bien trop d’efforts, qui à défaut de détruire autrui, calcine ton âme.  

 

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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 22:46

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"Entre les 4 murs stériles de ma prison", mon texte aurait pu commencer  ainsi et je me suis dit… (oui parfois je réfléchie) que c’était m’enfoncer d'avantage dans ma réclusion en leurs donner un peu plus raison… que c’était cracher à la gueule, sur le sort et la détresse des vrais détenus. Je pensais que la différence entre eux et moi, était qu’ils connaissaient la date limite de leur sentence… et là j’ai pensé à Moha*. Je me suis souvenue de la visite que je lui avais rendu au parloir-zoo de Kenitra où les détenus-sardines s’entassent… là tu te dis que la surpopulation carcérale en France c’est du pipi de chat quand tu sais que Moha et les autres, étaient à plus de 130 par cellule ! Moha passait pourtant pour un privilégié. Sa famille bakshichait pour que ses conditions de détention se rapprochent un peu de l’humanité : un soutien illimité des siens, les paniers hebdomadaires et la « location » du mètre carré déstiné à poser sa paillasse… Ces détails qui sont beaucoup et si peu à la fois, n’ont pas suffit à rendre sa vie moins amère. Je vous épargne (surtout à moi-même) l’insoutenable catalogue des conditions en milieu carcéral d’ici ou d’ailleurs et préfère garder ma peine et mes larmes pour mon frère fillah que je ne retrouverai plus. Libéré, Moha n’a plus jamais été lui-même. A présent, enfermé dedans,  il est emmuré dans de longs silences, le regard parfois vitreux et l’œil souvent humide. Il n’est plus que l’ombre de son ombre, un super-autiste qui intériorise plus que de raison. Qu’est devenu celui qui répétait sans cesse : « Viens on y va, le monde est à nous » ? Aujourd’hui, il n’a plus soif d’aventure, sa seule bataille reste de survivre et de ne pas se laisser happer par ses démons intérieurs qui parfois lui chuchotent  de quitter la vie. Son univers s’est réduit au minimum : métro-boulot bibliothèque-dodo… Lui qui n’aimait pas lire, la lecture est à présent son seul refuge & en partie a été son seul salut, lorsque enfermé il avait besoin d’évasion. Moha me manque ! Non pas le flambeur qui sommeilait en lui, qui vivait la « good life », cette « splendeur » que beaucoup enviaient. Ces derniers disaient qu’il avait eu ce qu'il méritait parce que « les bénéfices ça se divise mais que la réclusion ça s’additionne ». Non, le Moha qui me manque est celui dont le rire était une vraie mélodie, l'enfant avec qui je jouais à cache-cache, celui qui m’a initié à l’art de la fugue (jusqu’à Mammouth), qui m’a offert ma première K7 (NWA) et ma première cotisation pour le cours de modern-jazz. Cet ex-doux rêveur qui a donné des moyens à ses faims mais qui n’a toujours pas digéré…  L’écriture reste le seul moyen pour lui de verbaliser, de me faire partager son univers. Ses lettres m’ont permis de percer un peu plus le mystère qu’il est devenu et les angoisses qui l’habitent. Moha, mon frère fillah, je t’aime qui que tu sois aujourd’hui, et à présent que je suis cloitrée dans ma cellule sans barreau, je comprends un peu plus ton mutisme… mais jamais assez finalement.

Ces quelques mots ne sont rien, et n’effaceront en rien ce que la justice des hommes a fait de toi. Elle t’a tue à petit feu et a volé un bout de ton âme. Même le pire des hommes ne mérite pas une détention aussi sordide. « Un peu de sel sur une plaie ouverte… Un peu de sel sur une plaie ouverte… ». Il n’y a pas une semaine où je ne pense pas à toi, à ta mère ou à cette douleur profonde qui réside en toi. Pour ponctuer ces quelques maux je te dédis cette récitation litanique de Brigitte Fontaine car toi le silencieux, tu as la mystique du Soufi : tu es « le maudit et le cœur caché». Et comme ton avocat l’avait écrit à Houssin : « La lucidité est la blessure la plus proche du soleil » [R. CHAR].

 

* Moha ne s’appelle pas Moha mais il n’aimerait pas voir son prénom lâché entre ses lignes.

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Intro à la Conclusion..


La-Babouch-K® est née d'une fusion entre une chaussure pointue aérodynamique reçue en pleine face et d'une matriochka alcoolisée au thé à la menthe.

Bon ok, en vrai c'est parce qu'elle est ethniquement beur demi slave et qu'elle a une passion pour la chaussure pointue d'Afrique du Nord.

La-Babouch-K® c'est toutes les babouches (K ou pas), co-auteurs et instigateurs d'idées pour l'alimentation de la billetterie blogienne.

Alors, enfile tes babouches, n'hésite pas à laisser tes impressions, critiques, idées ou suggestions...

Bonne errance en Babouch-K-ratie ®.

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