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5 septembre 2011 1 05 /09 /septembre /2011 13:45
http://lecoffreauximages.l.e.pic.centerblog.net/o/1b506ce4.jpg Emprunter une « rime riche » à Johnny Halliday ne pouvait présager qu’un état d’esprit torturé.

Aujourd’hui 5 septembre 2011, j’ai abandonné mon enfant aux griffes de l'Éducation Nationale. Quel père indigne je fais et même qu’au départ, faut dire, l’idée m’enchantait !

 Comment ne pas être séduit lorsque pendant ce long été d’automne, Hello Kitty, ce putain de chat sans bouche a pris plus de place dans l’existence de ma fille que ma propre personne ?

 

      Qu’ai-je pu rater dans son éducation, pour ne plus être son super héros, celui qui vérifie sous le lit s’il n’y a pas de monstre et qui réconforte quand Maman gronde ? Oui je suis un père fabuleux… inutile d’applaudir.

 

Je ne sais pas quelle partie du mode d’emploi j’ai loupé mais ce dont je suis sûr c’est que l’école, ma fille va te pourrir ! Tu vas gober tout ce qu’ils te diront et même que la maîtresse elle aura toujours raison. Je ne veux pas négocier pour un format de cahier, ni plus sur la capitale de la Palestine.

 

On voudra te formater, et standardiser ta pensée pour que tu consommes un peu plus de chat sans bouche. Tu boiras leurs paroles et moi j’espère être assez fort pour t’aider à t’épanouir et à forger ton libre arbitre.

 

Des gens totalement déconnectés du monde et de sa réalité, qu’ils veulent unique, te sortiront de belles phrases voir de beaux idéaux qu’ils rabâchent d’année en année, dans le font sans réellement y croire. Ils te mettront la pression pour que tu gagnes ta vie... à la perdre, que tu apprennes un métier… pour que tu puisses consommer un peu plus de chat sans bouche.

 

Avant l’heure, tu auras peur de l’avenir, de la vie, l’angoisse ne rythmera plus que ta vie… en particulier celle de la rater. Ne m’en veux pas si à 7 ans je ne t’offre pas ta première FlickFlack. Tu auras ta passade où tu voudras être chanteuse, actrice ou participante d’une télé réalité et la Kim Kardashienne du moment sera ton idole. Tu me regarderas comme un vieux con qui ne comprend rien à rien. Je te regarderais toujours avec les mêmes yeux attendris me souvenant de l’enfant que tu étais.

 

Puis l’esprit de compétition te gagnera… tu ne jureras que par une école de commerce et tu m’en voudras de ne pouvoir te la payer.

 

Fin du scénario catastrophe. Finalement, tout va bien, ce matin tu as mis 30 minutes avant de me lâcher le bras, ton chat sans bouche à la main. Effarouchée tu m’as lâché un « khdem meziane » pour me rassurer et tu as rejoins les autres enfants. Tu n’as même pas pleuré… mais moi beaucoup une fois dans la voiture pour aller « bien travailler ». 

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 22:13

Lundi 10 mai, 7h du matin. Je me lève et décolle ma joue de ce ruisseau de bave qui s’est infiltré jusqu’aux abysses profondes de mon oreiller. Il est l’heure. Celle de devenir actif. A 8h10, je mets le pied dans le train mon sac en main.Je laisse la Beauce sur le quai et attend d’être débarqué sur la pavé actif parisien… Quelle longue marche ! Entre la voie, 20 gares de Montparnasse et le sous-sol où la ligne 13 m’attend. J’esquive un marcheur puis deux, le slalome continu. Je m’enfonce dans la masse glutineuse, contourne un pylône est  agrippe le 20 minutes.

« Crise de l’euro, fragile union » à la une. Au dessus, un bandeau d’optimisme relatif : « 1000 postes commerciaux à pourvoir dans toute la France. »  [... « Allo, oui bonjour Adrien (Aziz de son vrai nom) de XYZ.com -- Je viens à vous, vous alléger en vous faisant acheter une dose de ma came -- Pardon ? -- Vous n’en avez pas besoin ? Mais cher monsieur, le besoin n’est plus facteur d’investissement, vous verrez, une fois acheter vous lui trouverai une fonction… »]

 

 Je m’égard quelque peu, le passé remonte par intermittence sous les plafonds du métro. Je passe a la deuxième page, à la troisième, la station défile sur la ligne comme les lignes de mon journal sous mon œil quand soudainement :

« Journée de commémoration de l'abolition de l'esclavage […] L’anthropologue revient sur les liens entre la France et ses ex-colonies musulmanes, abolition ne signifie pas disparition. »

Voila quelque chose à se mettre sous l’iris. Je lis, je m’indigne. On y apprend que:

« Entre 20 et 30 millions d’êtres humains ont été asservis, » et que l’esclavage sévi toujours, en effet « Les descendants d’esclaves subissent aussi des discriminations, dans l’éducation notamment. »

« Les descendants d’esclaves sont donc toujours marqués  par leur généalogie ? »

« Même leurs noms les trahissent. Ils n’ont ni les mêmes droits de citoyen, ni les mêmes devoirs religieux. Ainsi, les descendants d’esclaves n’ont pas l’obligation du pèlerinage [à La Mecque] et diriger la prière leur est souvent défendu. D’où certaines mosquées séparées, jusqu’en région parisienne. »

« Les liens entre anciens maîtres et anciens esclaves existent jusqu’en France ? »

« Un exemple. Dans les années 1970, les  immigrés d’origine servile avaient lancé une grève car les descendants des maîtres les forçaient à faire la cuisine et le ménage dans les foyers. Les anciens maîtres ont des moyens de rétorsion au pays pour asservir jusqu’en France.»

 

Voila une bien étrange interview, moi qui m’attendais à ce que l’on revienne sur l’implication de la France dans la traite négrières je me voie renvoyer en pleine barbe l’esclavage par les « mahométans ».De quoi éclipser la traite occidentale bien que plus intense et plus violente.

Comme si l’abolition fut promulguée pour sauver l’Africain Noir de l’Arabo-maghrébin.

Comme si le code noir fut rédiger par la main  d’un Ibn Abd’Allah.

Certes l’Orient n’est en rien innocent mais avant de lui faire son procès, n’aurait-il pas étais plus judicieux de revenir sur les tars propres à la nation? Notamment en se jour de commémoration  nationale ?

Arrivé Miromesnil, je descente. Un pas, puis deux. Panier ! Le 20 minutes en pleine poubelle.

Le Fossoyeur du CSS

 

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 La France a-t-elle aboli l'esclavage ? - Guadeloupe-Martinique-Guyane (1830-1935) - Nelly Schmidt


Résumé: 1848: une nouvelle politique coloniale est mise en œuvre dans l'euphorie républicaine. La France abolit l'esclavage pour la seconde fois de son histoire et ouvre aux esclaves l'accès à la citoyenneté en Guadeloupe, en Martinique et en Guyane. Pourtant, un siècle plus tard, le constat du désastre social et économique jalonne les rapports des observateurs. Le sort des "nouveaux libres" n'a rien à envier à leur statut précédent. Alors que s'est-il passé? Nelly Schmidt fait ici la lumière sur des pans de notre histoire jusqu'alors restés dans l'ombre. Archives à l'appui, elle montre la longue crise que traversèrent ces territoires où les gouverneurs avaient instauré l'état de siège par crainte de révolte. Des colonies sous surveillance, où l'on traque toute velléité indépendantiste des affranchis, fichés avant l'heure. Des colonies où l'économie est restée aux mains des planteurs sous le contrôle de l'Etat. Cet ouvrage porte en lui bien des réponses aux interrogations actuelles sur les discriminations héritées de l'ancien régime esclavagiste. Il devrait enrichir les débats si contradictoires auxquels donnent lieu cette histoire et ses silences.

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 10:38

 

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 Que ce pays est mou. A chaque fois que la France tremblote, qu’un mouvement social pointe le bout de son nez, je me dis qu’une nouvelle révolution se met en marche. Finalement c’est les vacances scolaires, l’essence est en pénurie, madame Betancourt est une voleuse décomplexée, les ninjas musulmanes menaçantes se multiplient… (et j’en passe niveau divisons pour mieux régner et endormons la masse d’avantage) !

Et vlan dans ma face : ça retombe comme un soufflet.  Toute la Gaule est hypnotisée par le(s) pouvoir(s) et les psychoses qu’il(s) distille(nt) ! Toute ? Non ! Car un village peuplé d’irréductibles grévistes-sans-papiers résiste encore et toujours à l’envahisseur. C’est ce que nous avons pu constater quand touristiquement parlant « nous sommes montés à la Capitale », comme ont dit en Province.

 

Après avoir arpenté Paris de long en large, mon moment si attendu était arrivé : THE visit of the Quai Branly. Résultat des courses : 1H30 de queue interminable et ma passion pour l’Anthropologie a finalement céder à la pression du groupe qui proposait de se rendre Porte Dorée à la Cité de l’Immigration. Ayant une puissante aversion pour ce lieu de pacotille, pure instrumentalisation politique de ce foutu ministère de l’Immigration et de l’Identité blablabla… ma mâchoire se serre tellement fort que j’aurai pu me péter une prémolaire ! Mais comme St Thomas j’ai coutume de ne croire que ce que je vois… puis en plus c’est gratis… et à 4€60 le café parisien même pas allongé ça fait plaisir.

Quelle fut notre surprise en relevant la tête pour admirer la splendeur coloniale du Palais Lyautey, quand un agglomérat de travailleurs-sans-papiers et de grandes banderoles CGT-istes nous bouchaient la vu ! Nous ne savions pas que le mouvement avait quitter Bastille pour s’implanter dans ce théâtre chargé d’une forte valeur symbolique (oui l’été était passé par là faut dire).  

 

Deux attitudes dans la masse touristique. Ceux qui vont direct vers l’accueil récupérer les précieux audio-guides pour entamer leur visite. Et ceux plus ou moins interloqués qui se mêlent aux grévistes.

Comment font-ils depuis un an pour tenir ? Ils n’ont pourtant aucune potion magique ! La dignité, si ce n’est l’instinct de survie sont sans doute des moteurs beaucoup plus efficaces ! Je suis scotchée face à ce bordel à l’organisation quasi-militaire.

 Chacun est à son poste. Les communicants sont à l’avant, distribuant des tracts et expliquant à qui veut bien les écouter leurs situations et revendications. Sur le parvis, le café est vendu 20centimes, le moins cher de la Capitale si je ne m’abuse et sans doute le plus chaleureux vu que ce fut un réel moment de partage. Et dans le grand hall aux fresques glorifiant l’époque coloniale, un troupeau de 500 grévistes qui font la queue au bon grès des « agents » CGT pour obtenir un dossier de régularisation.

 

Nous passerons le sujet des guerres intestines au sein du mouvement… du moins ce que nous en avant compris car comme toujours nous ne nous faisons pas la voix des sans voix !

Et loin de plaider pour une régularisation sous le coup de l’émotion, nous croyons sans doute utopiquement TOUJOURS à une libre circulation des humains aux mêmes titres que les marchandises et autres flux financiers plus ou moins douteux… euh… réguliers. Quand il s’agit d’un type du Nord qui migre vers le Sud on parle d’Expatriation… Quand la donne s’inverse, on ose parler de la misère du monde qui vient voler le pain au gaulois et ses femmes au passage.

La situation est des plus gerbante. C’est ça la France ? S’engager (le 18 juin 2010) à délivrer une autorisation de séjour avec des autorisations de travail pour les 6800 dossiers déposés. Et finalement après 1 an de grève, seul une poignée de grévistes a reçu la dite autorisation. Sur 1800 dossiers nous dit un gréviste seule 58 titres de séjour provisoires  ont été délivrés.

 

Soutenez les si vous le pouv’oulez en leur apportant soutien, couvertures et vivres. Et pour citer celui-qui-se-reconnaitra : « Ce pays veut résoudre des problèmes par d'autres problèmes, c'est ça la French-Touch »

 

Provincialement La-Babouch-Team

 

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 21:51
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Ca démarre en équipe, on a des amis à ne plus savoir les compter. A chaque fois que la vie vient te chatouiller de l’une de ses épreuves, tu peux commencer à faire le décompte. Et finalement, tu te dis  qu’il y a bien trop de doigts sur ta propre main gauche pour pouvoir les recenser. Et pourtant tout avait si bien commencé ! « Amis pour la vie… à la mort ! T’es comme mon frère, ma sœur, je t’oublierai jamais. Je serai toujours là pour toi... ». On fait les 400 coups ensemble et du jour au lendemain, sans prévenir, on coupe les ponts ! Plus de nouvelle, bonne nouvelle et tu deviens veuf de ton ami qui n’a « pas trop le temps en ce moment », voir plus le temps du tout. Il y a les amnésiques qui finissent par t’oublier. Les sourds qui n’entendent plus le téléphone sonner. Les paralysés qui ne te rendent plus visites. Mais la pire des maladies qui puisse frapper un ami est la cécité car il ne te reconnaitra même plus dans la rue. Plus rien jusqu’au jour où il a besoin de toi et refait surface.

 

« Il faut savoir accepter un chien avec ses puces », donc ses défauts, peines, joies, erreurs, regrets ou victoires et surtout qu’il change. On ne devrait rien attendre d’un ami, pas même de la réciprocité. On ne devrait pas les juger ou comptabiliser le temps donné. Pas parce que c’est ça, la vraie-amitié mais car il faut apprendre à protéger son « boomkoeur » des assauts d’opportunistes qui savent s’investir juste ce qu’il faut et entretenir superficiellement les liens d’amitié… pour que toi, tu continues à y croire. Comme j’aime le dire: « pour sa rareté, son intemporalité et sa pureté qui font sa valeur, l’amitié est comme un diamant ». Et pour en trouver un, il faut charbonner longtemps! Je vous épargne mon délire au sujet de l’art du charbon sublimé par la nature, cette réfraction hypnotique de la lumière à l’infini… Au passage, j’accuse Charles Ingals d’avoir fait croire qu’il faut aimer celui qui te jette la 1ère pierre. Comment faire confiance à un type qui en 205 épisodes n’a pas changé une seule fois de chemise ? C’est l’arnaque du siècle, la Prairie… ou pas car j’épouserai bien un Charles Ingals. Un homme droit, intègre, plein d’honneur, de valeurs, de respect et qui joue du violon! Réflexion faite, je connais déjà trop de joueurs de pipo! (Et je préfère le joueur de poker du local des RiveDuCher même s’il pense que je dois aller me faire foutre…)


Tu as cru en vos projets qui n’étaient que des plans sur la comète. Malgré qu’ensemble vous ayez tout partagé, vos enfants ne se connaitront pas, vous n’irez pas ensemble jusqu’au bout de votre vie et de vos rêves. Affinités, points commun, complicité ne riment en rien avec amitié parce que ça tourne avec le vent. Alors peu importe le côté « éphémère » (10 ans dans une vie ce n’est rien) de certaines amitiés, parfois quasi fraternelles, nos vies changent et il arrive qu’on se détache. Les destins ne font que se croiser et souvent finiront par se séparer. On ne subit pas une amitié, on la choisit sinon ça s’appelle une erreur de jugement ! Sur le coup on pense ne plus jamais donner sa confiance ou s’attacher de peur des séquelles et des bleus de l’âme… mais on apprend de ses erreurs ! Il y a malgré les aléas de la vie, des amitiés à toute épreuve qui ne s’effritent jamais, un fil invisible vous relit à cet ami et même après de longues absences. C’est pourquoi, je garde les bons souvenirs et me fiche des fins comico-tragiques car je sais que la haine reste une entreprise qui demande bien trop d’efforts, qui à défaut de détruire autrui, calcine ton âme.  

 

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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 11:40

Aujourd’hui la paix a été récompensée par des œuvres de destruction. Demain, c’est un nouveau cycle de haine. It is War.   


Il était une fois, un pays paisible.

Jusqu'au jour où des armes firent leur apparition.

Sans réfléchir, les gens utilisèrent ces armes pour faire la guerre.

J’en faisais partie.

Je constituais une grande nation face aux autres.

Qui eux tirèrent leur force de leur nombre.

La bataille fut rude. Jusqu’à épuisement des armes.

Bien sûr j’en sortais principalement vainqueur bien qu’ayant subis des dommages.

Un jour les armes refirent leur apparition.

Etant l’ex-nation vainqueur, j’avais un pouvoir dissuasif

Et j’ai proposé de rester en paix en utilisant ces armes afin de construire un projet ensemble.

Au début, ce fut un succès. Jusqu’au moment où le projet fut voué à la destruction.

Les habitants ont alors choisi la destruction.

Rongé par la haine à mon tour du fait du non respect du traité de paix,

Je me suis également adonné à la destruction.

Un nouveau cycle de haine vit le jour.

Alors, je promis que dorénavant, j’utiliserai les armes uniquement pour la guerre.  


Pour une meilleure compréhension de cette histoire il vous faudra remplacer:

  • Pays paisible  = cour de récréation
  • Arme  = (boule de) neige
  • Construire un projet  = construire un bonhomme de neige.


Signé MGD… future star d’un prime time quotidien sans Nikos Aliagas mais à qui on ne peut pas offrir d’exotiques voyages pour que l’inspiration vienne à lui.

 

 

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L’ONU estime à 300 000 le nombre d’enfants-soldats enrolés dans les conflits qui traversent la planète. En guise de conclusion, on suggère la lecture d’ « Allah n’est pas obligé (d'être juste dans toutes ces choses ici-bas) » d’Ahmadou Kourouma. Ce roman est l’histoire de Birahima, un enfant soldat… la suite c’est à vous de la découvrir.


Et pour une introuction à la conclusion, une citation proposée par Inès : « il fut un temps où les hommes se sentaient tous libres et egaux en droit parce que tout le monde était armé. Seulement voila le chaos regnait, la peur etait permanante et la vie bien trop courte alors les hommes déposèrent leur armes et les mirent entre les mains des politiciens et des policiers mais la violence et la peur continuaient à regner parce que la violence n'est pas inhérante à un système mais à l'histoire du genre humain de son début à sa fin » [LA COMMUNE].

PS: Nous n’oublions pas Toussaint Louverture, ses enfants et sa Diaspora. Moult possibilités pour venir en aide à Haïti, pas besoin de les rappeler.

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Intro à la Conclusion..


La-Babouch-K® est née d'une fusion entre une chaussure pointue aérodynamique reçue en pleine face et d'une matriochka alcoolisée au thé à la menthe.

Bon ok, en vrai c'est parce qu'elle est ethniquement beur demi slave et qu'elle a une passion pour la chaussure pointue d'Afrique du Nord.

La-Babouch-K® c'est toutes les babouches (K ou pas), co-auteurs et instigateurs d'idées pour l'alimentation de la billetterie blogienne.

Alors, enfile tes babouches, n'hésite pas à laisser tes impressions, critiques, idées ou suggestions...

Bonne errance en Babouch-K-ratie ®.

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